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La médiation collective peut être une solution innovante pour résoudre des conflits de manière pacifique et respectueuse lorsque sont impliquées plusieurs parties ou groupe.

Dans une organisation (entreprise, association, collectivité…) la qualité des relations est essentielle pour garantir une ambiance de travail positive, favoriser la collaboration et les coopérations.
C’est pourquoi la mobilisation d’un diagnostic relationnel peut s’avérer très bénéfique.

La médiation est un processus de résolution des conflits fondé sur la communication et le dialogue. Si la médiation est souvent efficace pour résoudre des problèmes et restaurer les relations, il est essentiel de comprendre les motivations sous-jacentes pour entamer ce processus.
En effet, si certaines raisons peuvent sembler valables au premier abord, lorsqu’elles sont fondées sur de mauvaises intentions, elles peuvent entraîner des conséquences négatives.

Dans mes formations sur la prévention et la gestion des conflits lorsque j’aborde le processus de médiation, les stagiaires me demandent souvent comment fait-on pour bien choisir un médiateur.
La profession de médiateur/médiatrice n’est pas une profession réglementée. Il n’existe pas à l’heure actuelle d’ordre des médiateurs.
La loi impose au médiateur/médiatrice, qu’il/elle soit judiciaire (désigné par le juge) ou conventionnel (désigné librement par les parties), de posséder des critères de moralité, d’honorabilité, de qualification et de justifier d’une formation ou d’une expérience adaptée à la pratique de la médiation.

Voici les 3 conseils pratico pratiques pour bien choisir un médiateur/une médiatrice

Seul un accord constitue pour les parties une perspective qui donne de l’espoir et du courage pour rouvrir les blessures anciennes, affronter celui ou celle avec qui on est en conflit, faire l’effort de s’écouter, de se parler.

Le processus de médiation peut être arrêté à tout moment, par les participants eux-mêmes, sans qu’ils aient à donner une quelconque justification parce que c’est un processus fondé sur la volonté, et la liberté, de chacun, mais aussi les médiateurs également.
Dans quels cas alors le ou les médiateurs peuvent mettre fin à la médiation ?

Pourquoi pour les médiateurs, coopérer avec les avocats en médiation, c’est toujours gagnant, gagnant ?